lundi 6 février 2012

Chiang Maï: an easy place to live for farangs


Nous rencontrons beaucoup de voyageurs. C'est même, malheureusement, avec eux que nous échangeons le plus. Et le plus souvent nos parcours sont identiques: Bangkok, Chiang Maï et sa région puis le sud, ses îles et ses plages...

Chiang Maï, ou tout du moins son centre ville (un carré d'un km2 bordé d'un canal) est donc entièrement dédié au(x) tourisme(tes). Plus de 300 guest houses, des restaurants du monde entier, du foot anglais à satiété et de multiples agences de tourisme proposant toutes leurs déclinaisons des mèmes attractions: du treck à l'accrobranche en passant par le rafting ou la balade à dos d'éléphant, voire tout ça en même temps !


Le tourisme sexuel y est grandement présent. Très voyant même, bien plus qu'à Bangkok où il reste plus ou moins cantonné à un quartier et sans doute tout autant qu'à Pattaya ou Phuket...


Qu'il est pour autant agréable de s'y promener de par les soy, ruelles quasi piétonnes qui sillonent les patés de maisons. De s'asseoir en position du demi-lotus, ou du tailleur pour les moins souples, dans un des nombreux wat, ces temples que l'on trouve à chaque coin de rue. Et je n'éxagère pas sur ce point !



De flaner sur les marchés, de déguster la nouriture de rue, de se faire masser, de rencontrer la jeunesse locale de sortie à l'extérieur du carré, de bouquiner dans un parc ombragé ou d'y apprendre à cuisiner...


Un endroit où il fait vraiment bon vivre, tout du moins quand on est étranger ! (farang)




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